Les Décodeurs Atlantic
- Tout
- Economie
- Politique
- Social
- Justice et droit
- Nouvelles technologies
- Sport
- Politique étrangère
- Impôt et fiscalité
- Transport
- Tourisme
- Santé
- Entreprise
- Politique Internationale
- divers
- Télécommunication
- Affaires commerciales
- Finances-banques
- Inflation
- Consommation
- Gouvernement
- Presse
- Cryptomonnaie
- Tourisme
- Infos et actualité
- International
- Emploi
- Agriculture
- Intelligence artificielle
- Epargne
- Tourisme national
- Enseignement
- Education
- Energie
- Education
- Société
- Urbanisme
- Séisme
- Géopolitique
- palestine
- Israël
- guerre
- Proche-Orient
- Intelligence artificielle
- hydrocarbures
- grève
- Politique gouvernementale
- Médias
- Industrie
- Audiovisuel
- chômage
Le projet de loi de finances pour l’année 2025 a été adopté vendredi dernier par la Chambre des représentants avec 171 voix en faveur, 56 contre et une abstention. Lors de cette séance, le ministre délégué chargé du Budget a souligné l’importance des Hautes Orientations Royales comme fondement de ce budget. Ces orientations guident les priorités gouvernementales notamment la poursuite du développement, l’amélioration des conditions sociales et la gestion responsable des ressources naturelles. Fouzi Lekjaa a également mis en avant la diversification économique comme moteur de la création d’emplois, une initiative clé du nouveau modèle de développement. Est-ce vraiment le cas ? Au-delà du nouveau barème de l'IR, quelles sont les innovations fiscales de cette loi de finances ? Peut-on, à la fois, comme l'affirme le gouvernement, mobiliser les ressources financières nécessaires au chantier de l'Etat social, soutenir l'investissement public, accompagner les TPME et stimuler l'emploi ? Enfin, comment interpréter le régime fiscal "spécial" accordé à la FIFA dans ce budget ?
Donald Trump vient de nommer officiellement Elon Musk à la tête d’un tout nouveau département de l’« efficacité gouvernementale ». Cette alliance inédite entre le magnat de la tech et le président réélu des États-Unis soulève de nombreuses questions. L’homme derrière Tesla, SpaceX, et d'autres géants de la technologie se voit chargé de restructurer le gouvernement fédéral, de réduire les dépenses et de sabrer la bureaucratie, en partenariat avec Vivek Ramaswamy. Une nomination sous forme de récompense pour les bons et loyaux services d'Elon Musk pendant la campagne présidentielle ? Elon Musk est-il le grand artisan de cette victoire ? Sera-t-il le grand gagnant de cette élection ? Comment cette alliance pourrait-elle transformer la politique américaine, et quels risques de conflit d’intérêts pèsent sur cet improbable duo ?
Hicham Amadi, CEO de Toogo
Ismail Bargach, CEO de WafRDans un discours ferme prononcé le 6 Novembre à l’occasion du 49e anniversaire de la Marche Verte, le Roi Mohammed VI a rappelé la marocanité indiscutable du Sahara et mis l’ONU face à ses responsabilités. Deux jours plus tard, le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a tiré la sonnette d’alarme quant aux signes inquiétants envoyés par Alger, qui semblerait nourrir des intentions d’escalade militaire. Pendant ce temps, de l'autre côté de l'atlantique, Donald Trump est élu 47e président des états-unis. Un résultat qui pourrait impacter positivement la dynamique des relations entre Rabat et Washington ainsi que la position du royaume sur le dossier du Sahara
Brahim Rachidi, avocat membre du bureau politique de l’USFP
Aziz Boucetta, journaliste politique fondateur du média Panorapost
Karim Barketallah, chef d'entreprise
Aziz Saidi, journaliste